und in dem Zusammenhang fällt mir eine Platte ein, die ich noch im Frühjahr hoch geschätzt hatte und die zwischenzeitlich (leider) in Vergessenheit zu geraten drohte:
Mo Rodgers brandit le drapeau de la résurrection du blues. Se situant dans le camp de ceux qui veulent le bousculer, Mo Rodgers érafle à chaque fois les cadres étroits des codes blues, bien qu’enserrés dans les éternelles douze mesures. Il pose une incroyable palette de dix-sept pièces d’une intensité rare, emplie d’imagination, imprégnée d’émotion, fugueuse et porteuse d’espoir, magnifiquement jouée et illuminée par une vision optimiste sur le changement possible. Sur fond de blues, de gospel, de rock, de country blues, de soul et de rap, le prophète souffle un vent puissant sur des pages noires de l’histoire (esclavage, mondialisation, suprématie américaine…). Les classes moyennes enterrent leurs espoirs pendant que les riches s’enrichissent. Mo Rodgers se demande où est passé le rêve américain.
Hier gibt's mal wieder was ganz heftiges ans Ohr..... White Cowbell Oklahoma - Cencerro Blanco Was für ein Spaß! Die Jungs geben alles! Ein Konzert mit denen muß der Kracher sein...
Greife den Uriah Heep Hinweis auf streife durch deren Soundwälder: - very `heavy, very 'umble - Look at yourself - Salisbury.
Passt zu meinem Clark Ashton Smith. Übrigens: Great Rock Discografie (Martin C. Strong) sayz: "...Taking their new moniker URIAH HEEP, from a character in Dickens 'David Copperfield' novel...".